Glossaire

bioseal
BioSeal

BioSeal is a global and interoperable solution to certify and authenticate all types of products and documents, making them tamper-proof.

Thanks to instant and local verification, it helps to fight against fraudulent falsification of all types of documents and to verify the identity of people thanks to privacy-friendly biometric recognition technology

BioSeal is labelled France Cybersecurity

BioSeal est un code-barres 2D permettant à la fois de sécuriser les données clés d’un document physique ou numérique et d’identifier par la biométrie le propriétaire du document.

CNCF

Cloud Native Computing Foundation

FQDN

A fully qualified domain name (FQDN) is the complete domain name for a specific computer, or host, on the internet.

The FQDN consists of two parts: the hostname and the domain name.

For example, an FQDN for a hypothetical mail server might be mymail.somecollege.edu.

The hostname is mymail, and the host is located within the domain somecollege.edu.

Source: https://kb.iu.edu/d/aiuv

HCL

HashiCorp Configuration Language

Dans le vaste univers des outils DevOps dédiés à l’automatisation et à la gestion de l’infrastructure, il est courant de croiser des langages tels que JSON ou YAML.

Cependant, la société HashCorp a fait le choix de proposer son propre langage : le HCL pour HashiCorp Configuration Language. On le retrouve ainsi sur les outils tels que Terraform, Packer, Consul et Vault.

La syntaxe HCL est inspirée de libucl, de la configuration nginx et d’autres.

HSM

Hardware Security Module

Un Hardware Security Module ou HSM (en français, boîte noire transactionnelle ou BNT) est un matériel électronique offrant un service de sécurité qui consiste à générer, stocker et protéger des clefs cryptographiques.

Ce matériel peut être une carte électronique enfichable PCI sur un ordinateur ou un boîtier externe SCSI/IP par exemple.

IAC

Infrastructure As Code

Avec l’essor de la démarche DevOps, la nécessité de pouvoir provisionner et gérer les infrastructures informatiques rapidement a conduit à la création d’un nouveau type d’outils.

L’infrastructure en tant que code (IaC) incarne cette évolution, offrant une approche automatisée pour le provisionnement et la gestion des ressources informatiques.

Ce type d’outils transforme la gestion des infrastructures en permettant aux équipes de les traiter avec du code informatique, semblable à celui utilisé pour le développement de logiciels. Cette innovation favorise une relation plus étroite et plus synergique entre le développement (Dev) et les opérations (Ops) dans le cadre de la culture DevOps.

Au cœur de cette révolution se trouvent des outils comme Pulumi, Terraform et Ansible. Chacun de ces outils apporte une perspective unique à l’IaC.

Pulumi , par exemple, permet aux développeurs d’utiliser des langages de programmation familiers pour définir et déployer l’infrastructure, tandis que Terraform utilise un langage déclaratif pour décrire l’état souhaité de l’infrastructure.

Ansible , quant à lui, se concentre sur la gestion de configuration automatisée, facilitant la maintenance et le déploiement de configurations sur diverses machines.

Machines Virtuelles
machines virtuelles
machine virtuelle
Machine Virtuelle

Une machine virtuelle (VM) est un ordinateur et son système d’exploitation qui n’est pas lié à un matériel particulier.

Les VMs s’appuient sur la virtualisation pour découper un unique ordinateur physique en plusieurs ordinateurs virtuels.

Cette séparation permet aux entités et aux fournisseurs d’infrastructure de facilement créer et détruire des VMs sans impacter l’infrastructure sous-jacente

Problème auquel répond la machine virtuelle

Les machines virtuelles tirent parti de la virtualisation. Lorsqu’une machine physique est liée à un unique système d’exploitation, la manière dont les ressources peuvent être utilisées est en quelque sorte limitée. De plus, lorsqu’un système d’exploitation est lié à une unique machine physique, sa disponibilité est directement liée à ce matériel. Si la machine physique est indisponible à cause d’une maintenance ou d’un problème matériel, le système d’exploitation l’est également.

Quelle est l’utilité d’une machine virtuelle

En supprimant la relation directe entre un système d’exploitation et la machine physique unique, vous résolvez plusieurs problèmes des machines physiques: temps de provisionning, utilisation du matériel et résiliance.

Sans avoir besoin d’acheter, d’installer ou du configurer du nouveau matériel, le temps de provisionning d’un nouvel ordinateur est considérablement amélioré.

Les VMs vous permettent de mieux utiliser vos ressources matérielles existantes en plaçant plusieurs machines virtuelles sur une seule machine physique.

N’étant pas lié à une machine physique particulière, les VMs sont également plus résiliantes que les machines physiques.

Lorsqu’une machine physique a besoin d’être indisponible, les VMs qui sont éxécutées dessus sont déplacées sur une autre machine avec peu ou pas d’indisponibilité.

reverse proxy
proxy inverse

Un proxy inverse (reverse proxy) est un type de serveur, habituellement placé en frontal de serveurs web.

Contrairement au serveur proxy qui permet à un utilisateur d’accéder au réseau Internet, le proxy inverse permet à un utilisateur d’Internet d’accéder à des serveurs internes, une des applications courantes du proxy inverse est la répartition de charge (load-balancing).

Le proxy inverse est installé du côté des serveurs Internet. L’utilisateur du Web passe par son intermédiaire pour accéder aux applications de serveurs internes. Le proxy inverse est parfois appelé substitut (surrogate)

Virtualisation

La virtualisation, dans un cadre Cloud Native, est l’exécution de plusieurs systèmes d’exploitation isolés sur un même ordinateur physique, aussi appelé serveur.

Ces systèmes d’exploitation isolés et leurs ressources de calcul dédiées (processeur, mémoire et réseau) sont appelées machines virtuelles ou VMs.

Lorsque nous parlons d’une machine virtuelle, nous parlons d’un ordinateur défini par logiciel. C’est-à-dire quelque chose qui ressemble et se comporte comme un vrai ordinateur, mais partage son matériel avec d’autres machines virtuelles.

Le cloud computing fonctionne principalement grâce à la virtualisation.

Par exemple, lorsque vous louez un “ordinateur” auprès d’AWS, cet ordinateur est en fait une machine virtuelle.

Problème auquel répond la virtualisation

La virtualisation résout plusieurs problèmes, notamment l’amélioration de l’utilisation du matériel physique en permettant à plus d’applications de s’exécuter sur un même ordinateur physique tout en restant isolés les uns des autres pour des raisons de sécurité.

Quelle est l’utilité de la virtualisation

Les applications exécutées sur des machines virtuelles ne savent pas qu’elles partagent un ordinateur physique.

La virtualisation permet également de démarrer un nouvel “ordinateur” (une machine virtuelle) en quelques minutes sans se soucier des contraintes physiques liées à l’ajout d’un nouvel ordinateur dans un centre de données.